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Tiré du n°06/07 - 2006


LE COURRIER DU DIRECTEUR


Qui prie sauve son âme: 
une aide pour une bonne confession

Qui prie sauve son âme: une aide pour une bonne confession

QUI PRIE SAUVE SON ÂME

Vous avez été inspiré par Dieu

Caltagirone, le 31 mai 2006

Monsieur le Sénateur,
Vous avez été inspiré par Dieu lorsque vous avez publié Qui prie sauve son âme. J’en ai récemment fait don à cent personnes et je voudrais en recevoir encore cent exemplaires. Que le bon Dieu vous bénisse pour le bien que vous faites!

Francesco Sinatra,prêtre
Caltagirone (Ct)



30JOURS: LES UNIVERSITÉS DE RATZINGER

Une mise au point de l’archevêque orthodoxe de Redfern

Redfern, le 2 juin 2006

Monsieur le Sénateur,
Je suis Stylianos Harkianakis, archevêque d’Australie, et je vous écris pour éclaircir et corriger quelques détails importants relatifs à mes études de doctorat à l’université de Bonn (octobre 1958-février 1966).
Dans la revue 30Days [édition anglaise de 30Giorni] (n. 3, 2006, p. 59) que vous dirigez, on soutient que j’ai fait mon doctorat sous la direction du professeur Ratzinger, aujourd’hui notre Saint Père Benoît XVI, et que j’ai fait la “demande”, ensuite “repoussée” d’obtenir mon doctorat à la Faculté catholique.
Tout en étant fier d’avoir eu la chance de suivre les brillants cours du professeur Ratzinger, ainsi que ceux de Johannes Auer (et d’avoir eu l’honneur de nouer une profonde amitié avec eux deux), je tiens a faire remarquer que le sujet de ma thèse (L’infaillibilité de l’Église dans la théologie orthodoxe) est, par sa nature même, la preuve évidente qu’il ne m’aurait pas été possible de présenter ce genre de demande.
Je n’entends pas pour autant nier tous les bénéfices moraux que j’ai retirés d’une amitié si profonde et si précieuse, dont j’ai toujours été reconnaissant. Quoiqu’il en soit, dès que je suis arrivé à Bonn, je me suis trouvé, en tant qu’orthodoxe et que spécialiste de Théologie doctrinale, dans l’obligation d’adresser ma demande à la Faculté de Théologie d’Athènes. Nul n’ignore en effet que tous les candidats des Facultés catholiques romaines étaient tenus de prononcer une sorte de serment, chose que je n’étais certes pas disposé à faire. Ceci explique aussi pourquoi ma thèse a été rédigée en grec.
Le cas de l’autre clerc dont il est question, Damaskinos Papandréou, est complètement différent du mien, ne serait-ce que parce qu’il bénéficiait d’une bourse d’études catholique romaine et que la matière qu’il étudiait n’était pas de nature dogmatique.
Je vous serais reconnaissant de procéder à cette indispensable mise au point, comme il se doit pour la précision de l’article et la bonne information de ses lecteurs.
Votre dévoué

Archevêque Stylianos,
Redfern, Australie


 




LETTRES DES MISSIONS


Une pompe pour
l’approvisionnement en eau de deux écoles et quatre villages

Une pompe pour l’approvisionnement en eau de deux écoles et quatre villages

Kanisa katoliki Pawaga
Iringa, Tanzanie

Projet: puits artésiens

Iringa, jeudi 18 mai 2006

Monsieur le Sénateur,
Je suis un missionnaire originaire de la Ciociaria, de Vico nel Lazio (Frosinone). Je m’appelle Père Sergio Antonucci, un vieux de la vie missionnaire (45 ans ici, en Tanzanie, à Iringa); mais je suis heureux et content d’avoir dépensé ma vie pour ma chère Afrique (et non pour mon Afrique!). Avant tout, je vous remercie vivement pour la lettre dans laquelle vous vous réjouissez de nous faire cadeau de 30Giorni, votre revue digne de louanges qui nous arrive régulièrement. Personnellement je la lis d’un trait. Vos intentions dans cette lettre d’avril 2006 sont en vérité frappantes, je n’en rapporte que quelques-unes: «Aux missionnaires italiens qui œuvrent dans le monde entier, nous voulons désormais transmettre le message de notre journal; et nous serions heureux qu’ils veuillent bien nous parler de leurs expériences et des réalités dans lesquelles ils accomplissent leur action». Je vous promets de vous faire participer à notre réalité missionnaire et à notre village, Pawaga. Monsieur le Sénateur, vous avez peut-être oublié le jeune missionnaire de Vico nel Lazio et le 18 avril 1960, jour de ma première messe. Bien sûr, vous n’étiez pas là à fêter ce jour avec moi, mais vous étiez présent à travers votre inoubliable cadeau: une étole brodée d’or et un surplis. J’ai emporté avec moi ces dons précieux tout au long de mon expérience de mission jusqu’au jour où je les ai offerts moi aussi à une mission dépourvue d’ornements sacrés! Monsieur le Sénateur, merci, ma prière est pour vous.

Avec toute mon affection,
Père Sergio Antonucci, missionnaire de la Consolata


La mission de Pawaga (Iringa, Tanzanie) se trouve au milieu de la Rift Valley, la fameuse faille de l’Afrique qui suit la ligne des lacs Niassa, Tanganika, Victoria puis le cours du Nil et enfin la courbe du Jourdain jusqu’à la Syrie. À Pagawa, les pluies sont plutôt rares: de novembre à janvier; après quoi le soleil tape implacablement et porte la température à 38° à l’ombre. Aux premières averses, le désert refleurit merveilleusement mais sa triste agonie revient vite. Ce n’est pas tant la nature qui souffre que les personnes et les animaux, qui marchent toujours à la recherche d’un peu d’eau, source de vie. Nous, missionnaires, nous sommes appelés à affronter le problème de la survie, à trouver de la nourriture pour les pauvres et de l’eau pour ceux qui ont soif. Nous cherchons à assurer aux habitants de notre paroisse (vingt-huit mille fidèles environ) aide et soutien dans leur lutte pour la vie. Nous nous sommes engagés, avec l’aide, toujours, des gens du lieu, à creuser des puits artésiens pour répondre aux nécessités de l’approvisionnement en eau. Nous avons pris spécialement en considération cinq localités où il y a un plus grand afflux de personnes: les prisons de Pawaga, Ikorongo, Ilambalyelu, Kinyika et Magombwe. Chaque village a des caractéristiques particulières.


MISSIONNAIRES COMBONIENS
Santo Domingo de Los Colorados, Pichincha, Équateur

Nous prions pour vous, pour la revue et pour que vous vous souveniez de nous dans vos prières ainsi que des gens dont nous nous occupons

Santa María, dimanche 7 mai 2006

Monsieur le Sénateur,
Je n’aurais jamais imaginé que je devrais vous écrire et voici que je dois le faire maintenant pour vous remercier sincèrement d’avoir envoyé deux numéros de la revue 30Giorni qui sont arrivés jusqu’à ma mission. Je vous écris non pas du centre de la mission, mais d’une grosse communauté de 4000 habitants – à une heure, vers le sud, du centre de la mission – qui s’appelle Santa María, et la machine à écrire est plutôt vieille. Trois missionnaires laïques équatoriennes travaillent dans cette grosse communauté et font de très bonnes choses.
Au centre de la mission, nous sommes trois prêtres missionnaires. Un Espagnol, un Africain du Soudan et moi-même, qui suis italien et originaire de la région de Bergame. Nous avons aussi depuis presque deux ans trois sœurs salésiennes, deux équatoriennes et une sœur qui vient de Vicence. Comme vous le voyez, nous sommes une communauté missionnaire internationale ou globalisée, comme on dit aujourd’hui.
Je suis un vieux missionnaire. J’ai été ordonné en 1961 à Milan et après deux années en Espagne, au début de la présence combonienne dans ce pays, j’ai été envoyé en Équateur où les Comboniens étaient arrivés depuis cinq ou six ans. Depuis lors, je suis toujours resté en Équateur, parmi les Indiens des Andes, parmi les noirs d’Esmeraldas et la tribu indienne des Cayapas de la côte et, maintenant, depuis vingt ans, parmi les Manabites de la côte. Il m’est revenu à plusieurs reprises d’ouvrir une nouvelle mission. Celle où je me trouve actuellement a commencé en 1997.
Nous avons plus de cinquante communautés. On ne peut se rendre à certaines d’entre elles, très isolées, qu’à cheval ou à dos de mulet. Les habitants sont en tout quelques dizaines de milliers. Les ministres laïques qui se trouvent dans chaque communauté nous aident beaucoup et, sans eux, nous ne pourrions pas faire grand chose.
Nous avons dans notre mission une pastorale d’éducation qui s’occupe de 1 700 enfants environ et à laquelle participent aussi les parents. Cette pastorale est soutenue par Communion et libération à travers le père Valter Maggi, qui est aussi vicaire épiscopal de l’éducation de notre archidiocèse. Tout cela nous rend, comme vous pouvez le voir, un peu parents de la revue 30Giorni.
Les gens dont nous nous occupons sont dans la grande majorité des “campesini”, une catégorie de personnes dans l’ensemble très pauvres qui se heurtent, outre à la pauvreté, à différents problèmes de santé, d’éducation, de voies de communication, etc.
Je suis content et je remercie le Seigneur pour toutes ces années de vie missionnaire qui, je peux bien le dire, ont été des années de souffrance, de luttes, de déceptions, mais aussi de grande joie et de bons fruits, dons du Seigneur.
La revue dont vous êtes directeur nous aide à être au courant de beaucoup de choses concernant notre chère Église et à sentir avec l’Église.
Je vous remercie de nouveau et du fond du cœur du cadeau de la revue, à laquelle je souhaite un grand succès pour le bien de beaucoup de gens et pour le Royaume de Dieu.
Je vous souhaite à vous, en tant que directeur, tout le bien possible. Nous prions pour vous et pour la revue. Nous prions aussi pour que vous vous souveniez de nous dans vos prières ainsi que des gens dont nous nous occupons.
Je vous salue dans le Seigneur et dans la Vierge.
Que le Seigneur vous bénisse vous et tous vos collaborateurs.

Père Alberto Ferri


Xavériens DE LA SAINT PAUL CATHOLIC MISSION
Benakuma, Bamenda, Cameroun

Je n’ai rien à raconter que d’autres missionnaires n’aient déjà dit: je ne suis qu’un humble serviteur
dans la vigne du Seigneur

Benakuma, vendredi 19 mai 2006

Cher Monsieur,
Soyez en paix! J’ai reçu récemment les deux premiers exemplaires de l’abonnement que 30Giorni entend offrir aux missionnaires à l’étranger. Ce don m’a fait un très grand plaisir et m’a même ému. Cela fait longtemps que j’avais l’intention de m’abonner personnellement. Puis l’idée du coût et le fait que il est pour moi très difficile de communiquer avec le monde des vivants en dehors de ma zone m’ont toujours fait repousser la décision de m’abonner.
Je suis un missionnaire Xavérien. Je suis âgé, 73 ans, et j’ai trente années de mission en Afrique. J’ai commencé au Congo, il y a longtemps, en 1967. Je suis au Cameroun depuis presque vingt ans, dans la zone anglophone, à la frontière avec le Nigeria. Je n’ai rien à raconter que d’autres missionnaires n’aient déjà dit ou fait; je ne suis qu’un humble serviteur dans la vigne du Seigneur, sans prétention.
La zone de travail est vaste, isolée et séparée du reste du pays. Il me semblait, au début surtout, que j’étais arrivé dans un camp de concentration. Pas de lumière, pas de poste, pas de téléphone, même pas un portable, pas de services publics, pas de route digne de ce nom, pas de service sanitaire ou de médecin, une école délabrée dans tous les sens du terme. Telle est la situation dans laquelle je me trouve depuis le début. Il y a eu des progrès ces dernières années, mais ils sont peu nombreux face aux besoins croissants. Pendant toutes ces années, j’ai cherché à faire de mon mieux; je pourrais dire, avec un peu de présomption, que j’ai cherché à faire l’impossible pour favoriser un peu la promotion humaine dans différents secteurs. Grâce à Dieu, il y a quelques résultats, mais c’est comme une goutte d’eau dans la mer. Nous nous sommes efforcés d’ouvrir des écoles pour diminuer l’analphabétisme, de rénover les centres de soins, d’apporter de l’eau potable dans le village, de rendre la route carrossable et de faire d’autres choses de ce genre, de sorte à pouvoir dire que ces gens ne sont pas complètement abandonnés.
Comme je le disais, rien d’extraordinaire, vu que beaucoup d’autres missionnaires s’occupent de cela de la même manière et même mieux, mais au prix de beaucoup de travail et au milieu de grandes difficultés.
Je vous remercie vivement pour ce cadeau de l’abonnement à 30Giorni. Il m’offre l’occasion de jeter un regard sur le monde et surtout sur l’Église dans son universalité. Nous avons besoin de revues et d’aides semblables pour ne pas nous fossiliser mentalement et être, au contraire, nous aussi membres vivants de l’Église.
Cher Monsieur, je vous assure de ma pauvre prière au Seigneur pour que vous puissiez continuer votre mission de bien en Italie et dans le monde.
Avec mes salutations cordiales et fraternelles,

Père Italo Lovat


MISSIONNAIRES XAVÉRIENS
São Paulo, Brésil

J’ai été frappé par la photo de la p. 40 du numéro double de janvier parce que je vous ai rencontrés tous les deux, vous et don Giussani, à Desio

São Paulo, jeudi 25 mai 2006

Monsieur le Sénateur et la rédaction de 30Giorni,
C’est avec le cœur en fête que je désire partager avec vous deux événements spéciaux pour nous, missionnaires Xavériens. Nous célébrons et commémorons en ce moment l’Année de saint François Xavier et celle de Guido Maria Conforti.
C’est en effet cette année le 500e anniversaire de la naissance de François Xavier (1506-2006) et le 75e de la mort du bienheureux Guido Maria Conforti (1931-2006).
J’ai reçu les deux premiers numéros de cette année de 30Giorni! Je ne sais comment vous remercier. J’ai trouvé très intéressant, à la page 54, l’article sur le jeune Joseph Ratzinger, lorsqu’il était étudiant en Allemagne. Et j’ai été frappé par la photo de la page 40 parce que je vous ai rencontrés tous les deux, vous et don Giussani, à Desio pour la commémoration du pape Pie XI.
Avec mes sentiments d’estime, d’admiration et de partage des valeurs proposées et diffusées,

Père Govanni Murazzo


CHURCH OF SAINT JOSEPH
New York, NY, États-Unis

Quand j’étais jeune je suivais votre revue. Je suis maintenant content de la recevoir encore

New York, mercredi 7 juin 2006
À la rédaction,
Je suis un missionnaire italien à New York, précisément à Chinatown. Quand j’étais jeune, je suivais votre revue (et aussi Il Sabato). Je suis maintenant content de la recevoir encore. S’il faut s’abonner, envoyez moi un mot.
Salutations et allons toujours de l’avant,

Père Walter Tonelotto, missionnaire


 




LETTRES DES MONASTÈRES


OBLATES BÉNÉDICTINES DU MONASTÈRE SAINTE FRANÇOISE ROMAINE
Jérusalem

La visite du Grand Rabbin de Rome à la mosquée ouvre un avenir d’espérance

Jérusalem, samedi 10 juin 2006

Monsieur le Sénateur,
Nous terminons en communauté la lecture du numéro 3 de la revue 30Jours [édition française de 30Giorni] que nous recevons grâce à votre intention généreuse.
Nous sommes très touchées de voir la place que tient dans votre revue l’information sur les liens entre les religions et tout particulièrement avec le judaïsme et l’islam.
Notre situation en Israël, engagées que nous sommes dans le dialogue judéo-chrétien et habitant le lieu et la belle église de l’Emmaüs des Croisés au centre d’un village entièrement musulman, nous rend particulièrement attentives et sensibles à ce qui touche les juifs, nos frères aînés, et les musulmans. La visite du Grand Rabbin de Rome à la mosquée de cette même ville ouvre un avenir d’espérance.
Les pages relatant les années de jeune professeur de Sa Sainteté Benoît XVI nous ont passionnées.
Veuillez trouver dans ces lignes, Monsieur le Sénateur, l’expression de notre gratitude et l’assurance de notre prière pour le soutien de toute votre équipe.

La communauté des moniales-oblates bénédictines de Sainte Françoise Romaine en Israël


CARMÉLITES DU MONASTÈRE “SAÕ JOSÉ”
Rio Grande, Rio Grande do Sul, Brésil

Merci pour l’abonnement gratuit

Rio Grande, lundi 27 mars 2006

Reine du Carmel, prie pour nous tous!
Monsieur le Sénateur et directeur de la revue 30Giorni,
Notre communauté éprouve une profonde reconnaissance pour le privilège de recevoir gratuitement l’abonnement à la revue authentique et profonde que nous connaissons: 30Dias [édition portugaise de 30Giorni].
Nous vous remercions de l’estime que vous manifestez pour la vie contemplative.
De ce monastère São José des Carmélites déchaussées dans le sud du Brésil, nous ajoutons à celle de tous les autres, notre intercession pour vos intentions et vos initiatives visant le bien de l’Église et du Christ. Nous vous offrons en cette sainte période de Pâques notre fête de prière et notre infinie gratitude pour vos réalisations.
Avec une fraternelle amitié en Jésus de Thérèse,

Sœur Teresita da Santa Face O.C.D., prieure


CARMEL L’ASSOMPTION
Sebikotane, Sénégal

Que la Vierge Marie Reine du Carmel récompense votre générosité

Sebikotane, lundi 27 mars 2006

Monsieur,
Nous avons bien reçu le premier numéro de la revue 30Jours [édition française de 30Giorni]. Nous vous remercions beaucoup pour cet abonnement gratuit. Que la Vierge Marie, Reine du Carmel, récompense votre générosité.
Nous trouverons sûrement des articles intéressants dans votre revue, surtout pour que notre prière puisse s’intensifier, quand les événements du monde nous interpellent. Nous vous promettons nos prières pour le bon succès de votre apostolat.
Nous ne voyons pas trop quelles suggestions nous pourrions faire, mais peut-être le Seigneur nous inspirera-t-il en temps opportun.
Notre Carmel est situé à cinquante kilomètres de Dakar, non loin du village de Sebikotane et tout près du grand séminaire. Nous avons pour aumôniers les prêtres du grand séminaire et nous apprécions beaucoup leur ferveur et la bonne doctrine de leurs homélies, au cours des messes. Nous sommes bien centrées sur la prière pour nos jeunes séminaristes, qui se préparent aux ordinations. Eux-mêmes comptent beaucoup sur notre soutien spirituel.
Nous avons aussi une petite hôtellerie qui nous permet de recevoir des religieuses qui veulent faire leur retraite dans le silence du Carmel, et aussi quelques jeunes, en recherche de leur vocation.
Notre communauté est composée de Françaises et d’Africaines. Celles-ci sont de différents pays. Nous avons encore parmi nous deux de nos fondatrices, venues en 1950 pour la fondation du Carmel à Dakar. C’est en 1953 que nous nous sommes installées définitivement ici, à cause de la proximité du grand séminaire.
Nous avons de bons rapports avec les gens des villages environnants, surtout musulmans. Il n’y a qu’à Sebikotane qu’il se trouve une bonne communauté catholique.
Voilà un petit aperçu de notre environnement. L’essentiel est de vivre intensément notre belle vocation du Carmel.
Avec tous nos remerciements, daignez agréer, Monsieur, l’expression de mes sentiments religieux les meilleurs,

Sœur Marie-Agnès de l’Enfant-Jésus O.C.D.


DOMINICAINES DU MONASTÈRE “SAN VINCENZO FERRERI”
Prato, Italie

Nous voulons vous remercier de votre grande gentillesse et de votre intérêt pour les communautés de clôture

Prato, mardi 2 mai 2006

Excellence,
C’est l’archiviste du monastère San Vincenzo Ferreri à Prato qui vous écrit. Je voudrais vous témoigner ma reconnaissance et mon estime pour la revue que vous dirigez.
Nous recevons périodiquement 30Giorni et nous le lisons avec enthousiasme. Nous y trouvons des stimulations qui nous poussent à prier et à faire des offrandes pour nos frères qui sont dans le monde.
Moi, en tant qu’archiviste, je peux vous assurer que les exemplaires sont mis dans notre bibliothèque où nos consoeurs peuvent venir pour les consulter. Par la suite, les exemplaires de 30Giorni feront partie des archives en tant que recherche historique et seront conservés là avec soin.
Nous voudrions vous remercier de votre grande gentillesse et de votre intérêt pour les communautés de clôture. Nous sommes heureuses de savoir qu’il y a des personnes qui, comme vous, comprennent notre charisme, notre choix et notre mission à l’intérieur de l’Église.
Je vous remercie, pour finir, de tout cœur, pour l’envoi des deux publications Mon frère Albino et C’est l’étonnement qui compte, que vous avez bien voulu nous envoyer dans votre bonté.
Je vous assure de ma prière et de celle de la communauté pour toutes vos intentions.
Cordialement en Jésus,

Sœur Immacolata Mangini, archiviste


MONASTÈRE DE L’ANNONCIADE
Saint Doulchard, France

Merci encore de grand cœur pour ce beau cadeau

Saint Doulchard, samedi 13 mai 2006

Cher Monsieur,
Je viens vous exprimer ma profonde reconnaissance pour l’envoi gratuit de votre revue 30Jours [édition française de 30Giorni] fort intéressante. La dernière revue présentait une interview fort intéressante, au sujet du Saint Père Benoît XVI, d’un de ses professeurs et ami ainsi qu’un document sur saint Ambroise. J’ai pu faire profiter la paroisse saint Ambroise, à Paris, de ce document.
Dans notre monde actuel, ce qui me frappe le plus, c’est que vous ayez pris l’initiative de nous envoyer cette revue gratuitement. Soyez assuré de notre prière pour l’ensemble du travail et du choix des articles à réaliser. Je confie toute l’équipe à la Vierge Marie, spécialement en ce mois de mai. Notre ordre: ordre de la Vierge Marie ou ordre de l’Annonciade a été fondé par sainte Jeanne de France à Bourges en 1502, avec l’aide d’un père franciscain: le père Gabriele Maria, d’où une spiritualité mariale et franciscaine.
Encore merci de grand cœur pour ce beau cadeau, en profonde reconnaissance et union de prière,

Sœur Marie-Bertrand O.V.M.


BÉNÉDICTINES DU MONASTÈRE “MOTHER OF THE CHURCH”
Lagos, Nigeria

Nous vous assurons de tout notre soutien de prière à travers l’adoration perpétuelle du Saint Sacrement

Lagos, mercredi 20 juin 2006

Ave, Mater Ecclesiae!
Monsieur le Sénateur,
Que le Cœur de Jésus soit votre cœur! Nous vous informons que nous avons reçu quelques numéros de la revue 30Giorni nella Chiesa e nel mondo. Nous vous sommes très reconnaissantes de votre charité. Et nous élevons constamment nos louanges à Dieu pour le don de votre vie, témoignage concret d’authentique et simple vie évangélique dans le monde. Nous prions en outre afin que votre revue puisse avoir un tirage toujours plus élevé pour diffuser la vérité.
Personnellement, je connaissais déjà 30Giorni nella Chiesa e nel mondo quand j’étais en Italie; au Nigeria, c’est son Éminence le cardinal Anthony O. Okogie, archevêque de Lagos et fondateur du monastère, qui nous l’envoie chaque fois qu’il la reçoit. Nous nous permettons encore de vous demander s’il serait possible d’avoir vos publications Qui prie sauve son âme, Dottrina cristiana (vol. I-II), votre 1948 et l’abonnement à La Traccia, vu que notre monastère, exclusivement dédié à la contemplation à travers l’adoration perpétuelle du Saint Sacrement, a comme fin spécifique le soutien de prière pour le Saint Père et la hiérarchie ecclésiastique et vit dans une pauvreté radicale en se confiant entièrement à la Divine Providence: «Banque sans fonds» (saint Maximilien M. Kolbe).
Nous vous remercions de tout et vous assurons, vous, votre famille et vos collaborateurs, de nos prières, sûrs d’être toujours dans le cœur de Dieu: l’Eucharistie.
In corde Matris Ecclesiae

Sœur Maria Benedetta di Gesù et la communauté













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