Rubriques
Tiré du n°10/11 - 2009


LETTRES DES MONASTÈRES


CLARISSES DU MONASTÈRE SANTA CLARA
Nova Iguaçu, Rio de Janeiro, Brésil

30Dias est particulièrement apprécié dans notre communauté

Nova Iguaçu, 8 juin 2009

Monsieur le Directeur,
Veuillez recevoir nos vœux de paix et de bien en guise de cordiale bienvenue!
Nous désirons vous remercier de tout cœur pour la merveilleuse revue 30Dias, que nous recevons gratuitement tous les mois. Celle-ci est particulièrement bien accueillie et appréciée dans notre communauté de clôture. Ce qui nous frappe surtout, c’est son contenu, si riche de spiritualité et enrichi encore de magnifiques illustrations, qui nous tient au courant des principaux événements de l’Église et du monde.
Notre reconnaissance s’exprime aussi dans notre prière devant l’Eucharistie en faveur de toutes vos intentions. Que le Seigneur vous bénisse aujourd’hui et toujours et qu’Il vous accorde les grâces dont vous avez le plus besoin pour mener à bien l’œuvre si édifiante que constitue la revue 30Dias!
Bien affectueusement, au nom de toute la communauté des sœurs clarisses,

Sœur Maria Conceição da Imaculada, osc, abbesse


BÉNÉDICTINES DU MONASTÈRE DE CESCAU
Cescau, France

Je viens de vous retrouver, grâce à Internet… et à Dieu

Cescau, 5 juillet 2009

Chers frères dans le Christ,
Je viens de vous retrouver, grâce à Internet… et à Dieu!
Je suis heureuse que votre belle revue existe toujours. Pouvez-vous, s’il vous plaît, me donner quelques renseignements (m’envoyer le sommaire des numéros de ces trois ou quatre dernières années), m’offrir le numéro d’avril 2009 et m’indiquer les conditions d’abonnement?
Je vous en remercie d’avance et vous prie de croire en mes fraternels et religieux sentiments dans le Christ Roi

Sœur M. B. Sérayet osb


SŒURS PASSIONNISTES DU MONASTÈRE DE LA PASSION
Mamers, France

30Jours pour un petit monastère

Mamers, 6 juillet 2009

Messieurs, Mesdames,
Je me trouve depuis 3 ans au monastère des passionistes de Mamers, où nous recevons 30Jours.
Ce magazine est tellement beau, tellement bien présenté et sérieux, que j’aimerais, si ce n’est pas trop vous demander, que vous l’adressiez gratuitement au monastère de Marie Mère de l’Espérance: c’est un monastère petit et fragile.
D’avance, je vous en remercie et vous assure de mes pauvres prières, dans les Cœurs de Jésus et de Marie

Sœur Marie Daniel de l’Eucharistie


SŒURS DOMINICAINES DE CLÔTURE
Lourdes, France

Qui prie sauve son âme est très beau

Lourdes, 7 juillet 2009

Chers amis,
Nous vous remercions beaucoup de nous envoyer le livret Qui prie sauve son âme, il est très beau et il aidera beaucoup de gens. Nous prions pour vous, qui apportez votre contribution à la diffusion du message chrétien, à laquelle nous aussi, nous travaillons. Aujourd’hui, nous avons offert un exemplaire de ce livret à l’un de nos frères dominicains polonais.
Unies à vous dans la prière,

Sœur Marie de Jésus et Sœur Marie-Isabelle


SŒURS BÉNÉDICTINES DE L’ABBAYE GAUDIUM MARIÆ
San Antonio de Arredondo, Córdoba, Argentine

Nous tirons grand profit de chacun des numéros de 30Días

San Antonio de Arredondo, 3 octobre 2009

Messieurs,
Nous vous remercions pour l’important travail de diffusion de la culture et de la spiritualité chrétiennes que vous effectuez et pour la revue que vous nous faites si généreusement parvenir en cadeau. Nous tirons grand profit de chacun des numéros de 30Días! Votre revue nous aide à connaître, à aimer et à prier pour notre Église bien-aimée.
Pardonnez-moi de vous déranger, mais je dois vous demander de modifier l’adresse de vos prochains envois. Vous trouverez ci-joint l’adresse correcte.
Mille mercis,

Sœur Silvia


SŒURS DU MONASTÈRE OUR LADY OF MERCY
Vynthala, Kerala, Inde

Un salut de cette belle et lointaine terre indienne

Vynthala, 26 octobre 2009

Monsieur le Directeur,
Veuillez recevoir nos fraternelles salutations de cette belle et lointaine terre indienne, où nous nous trouvons, grâce à la miséricorde de Dieu, depuis presque neuf ans. Nous sommes une communauté de mercédaires déchaussées de vie contemplative. Ayant parfois l’occasion de rendre visite à notre communauté en Espagne, nous avons découvert votre merveilleuse revue qui fait tant de bien là-bas. Nous serions heureuses qu’elle puisse en faire autant pour nos jeunes consœurs, ici à Vynthala. Nous vous serions donc très obligées s’il vous était possible de nous envoyer votre revue en anglais et vingt exemplaires du livret Quien reza se salva, toujours en anglais. Nous vous en serions toutes vraiment très reconnaissantes.
Les articles de votre revue, riches et intéressants par leur actualité, constituent un bon moyen d’information et de formation, un moyen aussi fiable qu’authentique. 30Días sera comme une fenêtre ouverte sur l’Église et le monde pour note communauté.
Soyez assuré que ces jeunes sœurs prient pour vous, et qu’elles attendent de votre bonté et de votre générosité que notre requête soit exaucée.
Merci, Monsieur le Directeur, que le Seigneur vous bénisse,

Sœur Trinidad Montes






Lecture spirituelle/32


«Veni ergo Domine Iesu... Ad me veni, quaere me, inveni me, suscipe me, porta me»
«Viens donc, Seigneur Jésus … Viens à moi, cherche-moi, trouve-moi, prends-moi dans tes bras, porte-moi»

Après avoir publié les premiers documents du magistère de l’Église sur la grâce du Christ (les canons du Concile de Carthage de 418; l’Indiculus, petit catéchisme romain; les canons du Concile d’Orange de 529), avant de commencer la publication des documents dogmatiques du Concile de Trente, nous présentons quelques prières des saints Pères de l’Église qui expriment la doctrine de la foi au sujet de la grâce, de la façon la plus simple et la plus immédiate. Nous commençons avec saint Ambroise, évêque de Milan.
Nous publions une prière extraite de Expositio in psalmum 118, Tau, 28-30.32

«Quaere», inquit, «servum tuum, quoniam mandata tua non sum oblitus».
«Cherche ton serviteur», dit [le psaume], «puisque je n’ai pas oublié tes commandements».

Veni ergo, Domine Iesu, quaere servum tuum, quaere lassam ovem tuam, veni, pastor, quaere sicut oves Ioseph.
Viens donc, Seigneur Jésus, cherche ton serviteur, cherche ta brebis épuisée, viens pasteur, cherche Joseph comme un troupeau.

Erravit ovis tua, dum tu moraris, dum tu versaris in montibus.
Elle est allée errant ta brebis, pendant que Tu t’attardais, pendant que Tu restais sur les monts.

Dimitte nonaginta novem oves tuas et veni unam ovem quaerere quae erravit.
Laisse tes quatre-vingt-dix-neuf brebis et viens chercher la seule qui est allée errant.

Veni sine canibus, veni sine malis operariis, veni sine mercennario, qui per ianuam introire non noverit.
Viens sans les chiens, viens sans mauvais ouvriers, viens sans le mercenaire qui ne sait pas entrer par la porte.

Veni sine adiutore, sine nuntio, iam dudum te exspecto venturum; scio enim venturum, «quoniam mandata tua non sum oblitus».
Viens sans personne qui t’aide, viens sans intermédiaires, j’attends déjà depuis longtemps que Tu viennes; je sais en effet que Tu es sur le point de venir «puisque je n’ai pas oublié tes commandements».

Veni non cum virga, sed cum caritate spirituque mansuetudinis.
Viens non avec le bâton mais avec charité et esprit de clémence.

Noli dubitare relinquere in montibus nonaginta novem oves tuas, quia in montibus constitutas lupi rapaces incursare non possunt.
N’hésite pas à laisser sur les monts tes quatre-vingt-dix-neuf brebis, parce que, tant qu’elles sont sur les monts, les loups féroces ne peuvent les assaillir.

In paradiso semel nocuit serpens; amisit ibi escam, postquam Adam inde depulsus est; illic iam nocere non poterit.
Dans le paradis, le serpent a pu nuire une seule fois; mais en le faisant, il a perdu l’appât, après qu’Adam a été chassé de là; et là, il ne pourra plus nuire.

Ad me veni, quem luporum gravium vexat incursus.
Viens à moi qui suis accablé par l’assaut des loups féroces.

Ad me veni, quem eiectum de paradiso serpentis diu ulceris venena pertemptant, qui erravi a gregibus tuis illis superioribus.
Viens à moi qui, chassé du paradis, suis depuis longtemps éprouvé par les poisons dans la plaie provoquée par le serpent, moi qui me suis éloigné du troupeau qui est sur les monts.

Nam et me ibidem conlocaveras, sed ab ovilibus tuis lupus nocturnus avertit.
Tu m’avais effectivement mis là moi aussi, mais le loup qui est venu la nuit m’a arraché à tes bergeries.

Quaere me, quia te requiro, quaere me, inveni me, suscipe me, porta me.
Cherche-moi car j’ai besoin de Toi, cherche-moi, trouve-moi, prends-moi dans tes bras, porte-moi.

Potes invenire quem tu requiris, dignaris suscipere quem inveneris, inponere umeris quem susceperis.
Tu peux trouver celui que Tu cherches, Tu daignes prendre dans tes bras celui que Tu as trouvé, porter sur tes épaules celui qu Tu as pris dans tes bras.

Non est tibi pium onus fastidio, non tibi oneri est vectura iustitiae.
Un poids d’amour n’est pas pour toi une gêne, un transport de justice n’est pas pour toi un poids.

Veni ergo, Domine, quia, etsi erravi, tam «mandata tua non sum oblitus», spem medicinae reservo.
Viens donc, Seigneur, parce que, même si j’ai erré, «je n’ai pas oublié tes commandements», je garde l’espoir d’être guéri.

Veni, Domine, quia et erraticam solus es revocare qui possis et quos reliqueris non maestificabis; et ipsi enim peccatoris reditu gratulabuntur.
Viens, Seigneur, parce que Tu es le seul qui puisses faire revenir en arrière la brebis égarée, sans rendre tristes ceux que Tu auras laissés; eux aussi en effet se réjouiront du retour du pécheur.

Veni, ut facies salutem in terris, in coelo gaudium.
Viens pour réaliser sur terre le salut, au ciel la joie.

Veni ergo, et quaere ovem tuam non per servulos, non per mercennarios, sed per temetipsum. Suscipe me in carne quae in Adam lapsa est.
Viens donc et cherche ta brebis non par l’intermédiaire des serviteurs, non par l’intermédiaire des mercenaires, mais Toi en personne! Prends-moi dans la chair qui a péché en Adam.

Suscipe me non ex Sarra, sed ex Maria, ut incorrupta sit virgo, sed virgo per gratiam ab omni integra labe peccati.
Prends-moi non de Sara mais de Marie, vierge inviolée, vierge préservée par grâce de toute tache de péché.

Porta me in cruce quae salutaris errantibus est, in qua sola est requies fatigatis, in qua sola vivent quicumque moriuntur.
Porte-moi sur tes épaules sur la croix, qui est le salut pour ceux qui errent, dans laquelle seule est le repos pour qui est fatigué, dans laquelle seule trouve vie celui qui meurt.

Dicit ergo et anima, dicit et Ecclesia: «Erravi sicut ovis quae perierat»; sed dicit: «Quaesivi quem dilexit anima mea».
C’est donc l’âme, c’est l’Église qui dit: «Je suis allée errant comme une brebis qui s’était perdue», mais elles disent aussi: «J’ai cherché Celui que mon âme a aimé».

Hoc est dicere: «Vivifica servum tuum, quoniam mandata tua non sum oblitus».
Ce qui est dire: «Donne la vie à ton serviteur, parce que je n’ai pas oublié tes commandements».

Ego te quaesivi, sed invenire non possum, nisi tu volueris inveniri.
Je t’ai cherché, mais je ne suis pas capable de te trouver, si Tu ne veux pas te laisser trouver.

Et tu quidem vis inveniri, sed vis diu quaeri, vis diligentius indagari.
Et Toi Tu veux te laisser trouver mais Tu veux te faire désirer longtemps, Tu veux te faire chercher avec un désir croissant.

Novit hoc Ecclesia tua, quia non vis ut te dormiens quaerat, non vis ut iacens te investiget.
Cela, ton Église le sait, parce que Tu ne veux pas qu’elle te cherche endormie, Tu ne veux pas qu’elle suive tes traces en étant au lit.

Denique pulsas ad ianuam, ut excites dormientem, exploras, si cor vigilat et caro dormit.
Et ainsi Tu frappes à sa porte pour réveiller qui dort; Tu regardes si le cœur est éveillé et si dort la chair.

Vis iacentem levare dicens: Surge qui dormis et exsurge a mortuis.
Tu veux que celui qui est au lit se lève quand Tu dis: «Réveille-toi, toi qui dors, et ressuscite des morts».






LETTRES DES MISSIONS


MISSIONNAIRES DU PIME
Macapá, Amapá, Brésil

Je suis missionnaire au Brésil depuis quarante-quatre ans

Macapá, 2 juillet 2009

Monsieur le Sénateur,
Il y a un an que je reçois votre revue 30Giorni et je tiens à vous remercier de tout cœur de cette aimable pensée.
J’essaie par tous les moyens de trouver un peu de temps pour lire vos articles. Ce qui m’intéresse en particulier, ce sont les nouvelles que l’on ne trouve pas dans les autres journaux ou revues, tout spécialement les articles qui font comprendre les causes de certains événements concernant l’Église ou l’histoire humaine. J’apprécie également les articles de profonde spiritualité. Je suis missionnaire au Brésil depuis quarante-quatre ans, années dont j’ai passé la moitié dans le sud du Brésil et la moitié ici, dans le nord. Vous trouverez ci-dessous ma nouvelle adresse.
Bien cordialement,

Père Giovanni Pontarolo


MISSIONNAIRES XAVÉRIENS
Dhaka, Bangladesh

Le quatre centième anniversaire de la mort du missionnaire Matteo Ricci, pionnier du dialogue avec la Chine

Dhaka, 30 juillet 2009

Paix et joie dans le Seigneur!
Cher monsieur,
Veuillez recevoir nos salutations du Bangladesh. Encouragé par votre bienveillant accueil, je me permets de vous déranger encore une fois pour une noble cause.
L’année prochaine sera celle des célébrations du quatre centième anniversaire de la mort du missionnaire Matteo Ricci, pionnier du dialogue avec la Chine. Pour recueillir ses idées, j’ai traduit en bengali son Traité de l’amitié, qui reflète bien sa méthode d’évangélisation.
En consultant mes différentes sources, je suis tombé, entre autres, sur le titre de l’un de vos livres: Un gesuita in Cina. 1552-1610: Matteo Ricci dall’Italia a Pechino.
J’ai trouvé réconfortant de constater qu’un homme politique pouvait trouver quelque intérêt à la lecture de Ricci! Entre parenthèses: il serait peut-être utile de savoir quel genre de livres lit la nouvelle génération des hommes politiques.
Mais j’en viens à mon objet: votre livre est-il encore disponible? Je serais très content de le lire.
Je vous remercie de tout cœur, et je vous rappelle dans mes prières à la Madone “romaine” dont Ricci a offert une reproduction à l’Empereur. Mais est-il encore d’usage, aujourd’hui, de faire ce genre de présents?
Bien cordialement,

Père Silvano Garello


DIOCÈSE DE CRATO
Crato, Ceará, Brésil

J’offrirai Quem reza se salva aux nouveaux diacres

Crato, 12 août 2009

Monsieur,
C’est avec une grande joie et une profonde reconnaissance que je vous confirme avoir reçu les livrets Quem reza se salva. Je suis touché de ce geste si aimable et de la rapidité de votre réponse.
Le 4 août dernier, dix nouveaux diacres permanents destinés à notre Église diocésaine ont été ordonnés par notre évêque, Mgr Fernando Panico msc. Je leur ferai cadeau de ces livrets si utiles que vous nous avez fait parvenir.
Que Dieu, dans son infinie bonté, vous accorde d’abondantes bénédictions,

Diacre Policarpo Rodrigues Filho, chancelier de l’évêché de Crato


COLLÈGE CHARLES LWANGA
Monze, Zambie

30Giorni nous rapproche de la vie de l’Église d’aujourd’hui

Monze, 15 août 2009

Monsieur,
C’est avec une profonde reconnaissance que je vous écris cette lettre. Je travaille depuis 1980 comme missionnaire en Zambie. Il m’est arrivé, il y a quelque temps, de tomber sur votre magnifique revue 30Giorni. J’ai eu le privilège de trouver quelqu’un qui m’a offert un abonnement de deux ans à votre revue. Malheureusement, l’abonnement est arrivé à expiration l’an dernier et je n’ai trouvé personne qui ait pu m’aider à le payer. Je pensais que je n’aurais plus jamais le plaisir de lire 30Giorni. J’ai écrit à votre administration et je suis heureux de vous faire savoir que, désormais, 30Giorni m’arrive de nouveau régulièrement.
Pour moi, c’est un grand bonheur de lire ses articles et d’admirer les illustrations d’excellente qualité qui les accompagnent. Le contenu de ses pages est stimulant pour moi, et il me donne du courage pour notre travail de missionnaire. Je tiens vraiment à vous faire mes compliments et à vous féliciter, monsieur le Sénateur, pour votre si belle revue. Il s’agit d’une réalisation de grande qualité, qui nous rapproche de la vie de l’Église catholique d’aujourd’hui.
La valeur de cette publication est telle que je ne reste pas seul à la lire, et que je la partage avec le personnel enseignant de notre collège et avec nos étudiants. Notre collège, qui fête cette année ses cinquante ans d’existence, est un institut catholique tenu par les Jésuites. Nous assurons la formation des instituteurs pour les écoles primaires de la Zambie. Le défi est grand, parce que, pour de nombreuses familles, l’instruction n’est pas en tête de leurs priorités, bien qu’elle soit un élément nécessaire pour se préparer à la vie et avoir du succès dans la société moderne. Nos étudiants et nos professeurs appartiennent à différentes confessions chrétiennes; il est donc fondamental qu’ils possèdent une connaissance approfondie de l’Église catholique d’aujourd’hui. 30Giorni contribue parfaitement à la réalisation de cet objectif.
Je vous écris cette lettre à l’occasion de la solennité de l’Assomption de notre bienheureuse Mère, la Vierge Marie, et j’invoque son intercession pour vous et pour toute l’équipe qui réalise une si belle revue, pour que Dieu continue à bénir votre engagement, pour qu’Il vous comble de joie et de paix et qu’Il accorde à vos lecteurs la richesse d’une foi toujours plus profonde et convaincue, en union avec notre Mère l’Église.
Sincèrement vôtre dans le Seigneur,

Père Gérard Karas, sj, aumônier


MISSION DE CABOXANGUE
Caboxangue, Guinée-Bissau

Je lis 30Giorni avec plaisir

Caboxangue, 15 septembre 2009

Monsieur le Directeur,
Ici, le facteur n’existe pas: la correspondance est déposée dans la boîte postale et apportée à notre maison mère, la mission de Cumura; de là, elle part pour ses différentes destinations, emportée par quelque missionnaire de passage.
Caboxangue se trouve dans le sud du pays, à environ 260 kilomètres de Bissau, la capitale; le problème, ce sont les 37 derniers kilomètres, un vrai désespoir à cause de l’état de la route, qui est impraticable. Il arrive souvent que l’on s’embourbe dans la boue ou dans des trous profonds, aussi sommes-nous hors de toute communication. Nous avons aussi des difficultés à capter les émissions de la radio et à utiliser les téléphones portables; il n’y a pas la télévision. Ainsi, nous pouvons vivre un peu comme des ermites!
Je vous remercie de nous envoyer 30Giorni, que je lis avec plaisir car j’apprécie le choix des sujets, mis à jour et traités avec compétence.
En vous souhaitant toute sorte de bien,

Père Rino Furlato, ofm


PAROISSE SAN PEDRO APÓSTOL
Huacaybamba, Huánuco, Pérou

Quien reza se salva pour nos catéchistes

Huacaybamba, 17 septembre 2009

Monsieur,
C’est une grande joie de vous écrire, surtout pour vous remercier de votre prestigieuse revue 30Días; quel cadeau surprenant qui m’arrive désormais régulièrement, et quelles nouvelles vraiment récentes elle contient! Elle me fait réellement sentir la catholicité de notre Église, pour laquelle nous vivons en différents lieux du monde – chacun avec ses traditions, sa langue, ses coutumes –, et à travers laquelle nous nous sentons tous très proches les uns des autres.
Comme je vous l’ai écrit dans ma dernière lettre, celle où je vous demandais de me faire envoyer la revue, je suis prêtre et je travaille dans la région des Andes, au Pérou, dans le nouveau diocèse de Huari, qui était jusqu’à l’an dernier une prélature territoriale. Ma paroisse se trouve dans une zone rurale, où sont disséminées soixante-huit communautés le long des rives du grand Río Marañón. Malheureusement, l’extraction de la pâte qui est à la base de la cocaïne se poursuit dans la forêt voisine; beaucoup de jeunes y risquent leur vie tous les jours ou finissent en prison parce qu’ils sont devenus dealers pour quelques centimes par jour, poussés par la pauvreté dans laquelle ils se trouvent. De plus, cette paroisse a été très durement frappée par “Sendero luminoso” dans les années Quatre-vingt et Quatre-vingt-dix. Vous pouvez imaginer combien de vies disparues, combien d’orphelins et de veuves sont restés; combien de blessures infligées à la population: telle est la réalité de notre paroisse. Aujourd’hui, j’ai pris l’habitude d’“alimenter” mes paroissiens avec la Parole de Dieu et les sacrements et aussi avec quelques œuvres sociales, et c’est surtout pour cela que j’envoie de deux à trois catéchistes ruraux dans chaque communauté. C’est la raison pour laquelle je voudrais, faisant appel à votre amabilité, vous demander de nous donner, si c’est possible, 150 exemplaires du livret Quien reza se salva qui est arrivé en différentes langues dans le monde entier grâce à votre générosité. Je voudrais le donner à chacun de nos catéchistes comme un cadeau de votre part. Et de leur côté, ils vous offriront leurs prières pour vous et pour toute l’équipe de 30Días.
Je ne voulais pas m’étendre dans cette lettre, je désirais simplement vous décrire la réalité que nous vivons.
Avec mes bénédictions et mes prières dans le Seigneur,

Don Benito Filemón Guzmán Santiago, curé


PETITES SŒURS DE SAINT FRANÇOIS
Dar es-Salam, Tanzanie

Les informations de 30Giorni élargissent nos horizons

Dar es-Salam, 27 septembre 2009

Monsieur le Directeur,
Cela fait plusieurs mois que nous recevons 30Giorni, votre précieuse et intéressante revue. Je vous en remercie donc de tout cœur. Nous sommes une jeune communauté de l’archidiocèse de Dar es-Salam, en Tanzanie.
Cette revue est très précieuse pour nos sœurs. Les informations qu’elle donne sur l’Église et sur le monde élargissent nos horizons et donnent à notre prière une dimension beaucoup plus universelle. Les sœurs apprécient beaucoup votre revue et elles veulent toutes être la première à connaître les dernières nouvelles.
Je ne peux que vous remercier et demander au bon Dieu d’accompagner jour après jour votre travail et votre personne de sa bénédiction. Toute la communauté des Petites Sœurs de saint François prie pour vous.
Je me permets de vous demander deux exemplaires du livret Wer betet, wird gerettet (Qui prie sauve son âme en allemand) et dix autres exemplaires de Who prays is saved (en anglais). Que le Seigneur vous récompense mille fois pour votre bonté. Nos novices vous seraient très reconnaissantes de recevoir ce livret.
En union de prière et d’amour, et bien cordialement,

Sœur Paulin Bommer, Mère supérieure


MISSIONNAIRES DU PIME
Ipil, Philippines

30Giorni pour les enfants de notre paroisse

Ipil, 12 octobre 2009

Paix et joie dans le Seigneur!
Monsieur le Sénateur,
Soyez vivement remercié pour la revue 30Giorni que vous avez l’amabilité de me faire parvenir tous les mois. Merci aussi pour le livret Chi prega si salva.
Je suis un missionnaire du Pime. Je travaille ici, aux Philippines, dans l’île de Mindanao, qui se situe dans la prélature d’Ipil. Au-delà de l’activité pastorale, je me consacre à la promotion de la scolarisation des enfants les plus pauvres, qui, sans moi, ne pourraient même pas suivre l’école primaire. J’ai organisé dans la paroisse, pour les filles et les garçons les plus pauvres, deux maisons d’accueil. La high school publique est proche mais ceux qui habitent dans des villages éloignés ne peuvent y suivre les cours qu’en habitant ici. Je les accueille aussi parce que les difficultés de leurs familles sont telles qu’ils ont besoin d’un soutien financier pour payer les frais de scolarité, mais aussi la nourriture et les vêtements. Cette année, j’en loge cent vingt, qui sont défrayés de tout. Je ne vous cache pas que nous avons une certaine difficulté à faire toujours face aux différents besoins. Mais le Seigneur nous aide.
Et puis nous projetons d’ouvrir aussi un collège, ici dans la paroisse, pour éviter que les étudiants soient obligés de se rendre dans des villes éloignées. Ce projet est financé par les sœurs de l’URC (University of Regina Carmeli) de Manille. Pour moi, le problème est de fournir des logements et de payer les frais scolaires pour les jeunes les plus pauvres. Cinquante-cinq enfants ont déjà demandé à habiter ici, étant donné la grande pauvreté de leurs familles.
J’ai pensé qu’il serait très utile pour ces jeunes de pouvoir lire la revue 30Giorni. C’est la raison pour laquelle j’ose vous demander, si vous le pouvez, de m’en envoyer un exemplaire en anglais.
Je vous remercie vivement dans le Seigneur, notre paix,

Père Ilario Trobbiani






LETTRES DES SÉMINAIRES


NOVICIAT PALLOTTIN RAINHA DA PAZ
Cornélio Procópio, Paraná, Brésil

30Dias est une source d’information et de connaissance

Cornélio Procópio, 23 septembre 2009

Ad infinitam Dei gloriam.
Monsieur le Sénateur,
À vous, à tous les amis et à toutes les amies de la revue 30Giorni, la paix et la bénédiction du Christ vivant.
Comme il est d’usage, je commence par me présenter: je suis Edvaldo Betioli Filho, j’ai dix-huit ans et je suis en première année de la période d’introduction (noviciat) dans la Société de l’apostolat catholique.
Ici, dans notre séminaire, nous recevons régulièrement votre revue 30Giorni, 30Dias dans notre langue. Et chaque fois qu’un numéro nous est offert, j’avoue que j’éprouve une grande joie, parce que votre revue est pour moi une source sûre d’information et de connaissance, c’est-à-dire de croissance intellectuelle et spirituelle. C’est ainsi que dès 2008, lorsque j’ai connu la revue au cours de ma première année de formation (postulandat), j’ai pu commencer à apprécier ses grandes qualités, parce qu’elle est toujours faite avec amour et avec respect. Elle me plaît tellement que je juge inutile de continuer à énumérer ici toutes ses qualités.
Cher Sénateur, je voudrais bien savoir – et c’est pourquoi je saisis l’occasion de cette lettre pour vous poser cette question – comment il serait possible de se procurer une livre publié par 30Dias.
En effet, parmi les nombreux livres que je vois cités dans votre revue (par exemple Quem reza se salva), il en est un qui m’a particulièrement intéressé, intitulé Mio fratello Albino, auquel est dédiée la rubrique “Nova et vetera” publiée dans le numéro 5 de l’année en cours.
Je serais vraiment très heureux d’avoir et de lire cette précieuse publication qui porte sur la sainte figure du “Pape du sourire”, pour lequel j’ai une grande dévotion depuis que j’ai commencé à vivre plus profondément la vie de l’Église. En outre, ceci me permettrait de partager ce livre avec tous mes frères novices.
Cher Sénateur, je ne sais pas si ce livre peut m’être envoyé gratuitement; mais en tout cas, je serais heureux de recevoir quelques lignes de réponse. Je constate qu’il est très difficile, voire impossible, d’acheter ce livre au Brésil, dans la mesure où – c’est du moins ce que je crois – le texte n’a pas été traduit ni diffusé dans notre “Terre de la Sainte Croix”.
Je suis un jeune qui étudie la langue italienne, mais j’ai encore des difficultés à écrire. C’est la raison pour laquelle je crois que le livre Mio fratello Albino pourrait aussi m’aider à approfondir ma connaissance de cette langue, dans laquelle j’ai déjà fait quelques progrès en matière de lecture et de compréhension des textes.
Cher Sénateur, je saisis aussi cette occasion pour vous remercier de vos éditoriaux, qui sont une grande leçon de vie. Continuez, aussi longtemps que vous le pourrez, à nous les présenter, vous dont la sagesse est une permanente éducation, surtout pour les nouvelles générations comme la mienne! Merci, mon ami!
Comptez sur mes fidèles prières, comme sur celles de tous les novices, et veuillez recevoir les cordiales salutations de toute la communauté du noviciat pallottin Rainha da Paz.
Dans l’espoir d’une réponse de votre part, je prends congé.
Je vous souhaite de recevoir toute la paix du Ressuscité, et de demeurer sous la protection de la Mère du Divin Amour, avec l’intercession de saint Vincent Pallotti.
Votre frère dans le Christ, Apôtre du Père éternel, votre

Edvaldo Betioli Filho


SÉMINAIRE DIOCÉSAIN SÃO JOSÉ
Ourinhos, São Paulo, Brésil

30Dias fait que nous sommes informés et en communion avec l’Église

Ourinhos, 1er octobre 2009

Monsieur,
Soyez remercié de la bonté et de la générosité que vous nous manifestez en envoyant à notre séminaire cette belle revue qui nous aide tellement à acquérir des connaissances, à être informés et en communion avec l’Église dans le monde. C’est la raison pour laquelle, conformément au désir de notre évêque Mgr Salvatore Paruzzo et de nos sœurs clarisses, nous nous permettons de vous demander d’envoyer, si possible, la revue 30Dias au monastère Santa Maria dos Anjos.
Je saisis l’occasion de cette requête pour vous demander si vous auriez l’amabilité d’envoyer à notre séminaire douze exemplaires en portugais et un en italien du livret Quem reza se salva.
Recevez toutes mes félicitations et soyez encore une fois remercié pour votre magnifique travail.
Fraternellement,

Père Altair Gaiquer, vice-recteur


MISSIONNAIRES COMBONIENS
Cape Coast, Ghana

30Giorni nous enrichit au niveau culturel et spirituel

Cape Coast, 6 octobre 2009

Monsieur le Directeur et Sénateur Andreotti, ainsi que toute la rédaction,
Recevez mes compliments pour votre revue, que j’ai eu l’occasion de lire auprès de différentes communautés missionnaires en Afrique. Elle est intéressante et elle nous enrichit au niveau non seulement culturel mais aussi spirituel.
Je suis le père Vincenzo Percassi, missionnaire combonien au Ghana. Je travaille à Cape Coast comme supérieur d’un séminaire missionnaire qui accueille un groupe d’étudiants en théologie, et je suis également assistant dans une paroisse du diocèse. Je serais heureux de recevoir la revue 30Giorni en anglais, de sorte à la rendre plus accessible à nos séminaristes. Pourriez-vous, s’il vous plaît, me faire connaître les conditions de l’abonnement, et me dire s’il est possible de bénéficier de quelque réduction pour les missionnaires? Nous serions également heureux de recevoir une quinzaine d’exemplaires de Who prays is saved,

Père Vincenzo Percassi


SÉMINAIRE SALÉSIEN DE MAGDALENA DEL MAR
Lima, Pérou

J’ai reçu le précieux livret Quien reza se salva

Magdalena del Mar, 22 octobre 2009

Monsieur le Directeur,
J’ai reçu il y a quelques jours le précieux don de dix exemplaires de Quien reza se salva. Vous êtes allé au-delà de mon attente et je vous en suis sincèrement reconnaissant.
Je tiens à vous exprimer ma reconnaissance en offrant en faveur de votre revue 30Giorni, de vos collaborateurs et de vous-même, monsieur le Directeur, dix messes pour vos intentions personnelles et familiales, et pour que votre revue continue à faire un bien immense en diffusant les nouvelles les plus importantes et la pensée de l’Église. Vous êtes aujourd’hui une voix claire au milieu de la confusion d’une culture qui s’éloigne de plus en plus de l’Évangile et de la foi.
Soyez-en vivement remercié,

Don Pablo Corante, sdb




Italiano Español English Deutsch Português